Blagues Auvergnates (38 blagues)
C'est
deux mouches qui ont passe tout l'été a s'amuser ensemble, et la bise venant,
elles décident de se séparer et d'aller passer l'hiver quelque part au chaud,
et de se retrouver au printemps.
La mouche n'étant pas migratrice, c'est connu, la première se met en quête d'une étable chauffée dans les environs et passe l'hiver dans le coin d'une poutre.
Le
printemps arrivant, elle sort de son trou et volette gaiement jusqu'au point
de rendez-vous et elle attend sa compagne.
Le printemps passe, toujours personne.
"Bah, elle est un peu frileuse et attend l'été", se dit-elle.
L'été passe, toujours personne.
"Bah, elle a un peu de retard, elle a du folâtrer dans les environs",
se dit-elle.
L'automne passe, il commence a faire froid.
Alors la première mouche se dit que l'autre est morte ou a été mangée, et elle
se prépare a retourner dans sa cachette pour l'hiver.
C'est
alors qu'elle voit arriver l'autre mouche, les ailes froissées, volant difficilement,
haletant, qui tant bien que mal finit par se poser à côté d'elle et s'écroule.
"Eh, ça va pas ? Qu'est-ce qui t'arrive ?"
"Ah, ah, (respiration suffocante), c'est horrible, voilà, j'ai passé l'hiver
dans le porte-monnaie d'un Auvergnat, et il vient juste de le rouvrir !"
C'est l'histoire
d'un chauffard qui arrive en trombe dans un village de campagne et pas de chance,
une brave dame était en train de traverser la route,
il fait un écart de volant pour l'éviter et écrase une poule.
Très embêté, le pov'gars va voir le paysan :
- Je suis
désolé, j'ai écrasé une de vos poules, pour éviter cette brave dame. Je vais
vous rembourser...
- Alors vous, les bêtises vous les accumulez : vous écrasez ma meilleure pondeuse
pour éviter ma belle-mère...
C'est l'histoire
d'un parisien à la chasse. Il s'est levé très tôt et il est toujours bredouille.
Soudain,
il aperçoit une perdrix en vol. Il la vise, la touche et la voilà qui tombe
sur le toit d'une ferme.
Prudemment, le Parisien rentre dans la ferme.
Le fermier sort soudain et lui demande pourquoi il entre ainsi dans une propriété
privée.
Le Parisien lui explique alors toute l'histoire : il désire récupérer cette
perdrix.
Le fermier répond que comme elle est chez lui, il entend bien la conserver.
Le parisien insiste : C'est la seule chose qu'il a réussit à avoir depuis le
matin très tôt.
Le fermier lui propose alors un jeu :
A tour de rôle, ils vont se donner un coup de pied dans les parties sensibles,
le premier qui arrête à perdu,
le fermier commence.
Pour le Parisien, c'est à prendre ou à laisser... Il accepte.
Le fermier lui donne un coup incroyable avec ses gros sabots.
Apres s'être remis de ses émotions, le Parisien se prépare à son tour,
lorsque le fermier, tout content, lui dit : Tu as gagné !
C'est un type qui
revient au pays après beaucoup d'années et qui tient à revoir le coin ou il
gardait les brebis quand il était jeune. Il demande donc à un gars du cru de
l'y mener.
Et l'autre en chemin lui demande :
- Mais pourquoi, mon gars, qu'tu veux r'tourner là-bas ?
- Vous comprenez, j'ai plein de souvenirs dans ce coin ; par exemple, c'est
là que j'ai fait l'amour pour la première fois, sous un arbre. D'ailleurs, je
me souviens que nous avions été surpris par sa mère...
- Cré vin diou, et que qu'elle a dit, la mère ?
- Elle a dit "Béééééhééée !"
Un paysan fait
sa crotte auprès d'un pommier. Apres son départ, une petite pomme tombe près
de la crotte...
La petite crotte demande à la petite pomme :
- Veux-tu devenir mon amie ?
- Non, tu es hideuse et tu sens très mauvais !
- Allez, nous sommes toutes deux filles de la nature...
- Non, non et non. Si seulement je pouvais m'éloigner de toi ! ! Arrive le soir.
Le paysan repasse au même endroit. Il trouve la petite pomme et la croque. Au
même moment, la petite crotte dit :
- A demain matin !
C'est l'histoire
des paysans de Sa Pobla, qui assez fâchés que chaque année il y ait une putain
de taupe qui leur bouffe 5 tonnes de patates, alors, un soir, tous les paysans
se réunirent un soir pour tuer cette putain de taupe. Le chef proposa de faire
une grande battue pour prendre la taupe. Le soir même, tous les paysans de Sa
Pobla firent une grande battue. Un des paysans vis la taupe en train de grignoter
une patate sur une branche, et, étant très intelligent, il lui lança une pierre.
Pas de chance, la taupe la vit et se tira vite fait. Le chef cru que la battue
n'était pas le bon stratagème, alors il proposa de se séparer, pour que ce soit
plus vite fait. L'idiot du village vit la taupe a la souche d'un arbre en train
de manger une patate, alors il pris un sac, s'approcha doucement par derrière
et la pris. Il cria à tout le monde :
- J'ai la taupe ! ! ! J'ai la taupe ! ! !.
Le chef dit que comme la taupe les avait fait souffrir, elle devait souffrir
doublement. Ils l'amenère au forgeron et lui dirent qu'il fasse souffrir la
taupe, a quoi il répondis que pas de problème.
Le lendemain matin, tous les paysans acourèrre chez le forgeron et lui demandèrent
:
- Alors, tu l'as fait souffrir ?
- Ouaaiiss ! ! ! !
- Tu lui as ouvert le ventre et tu lui as retiré les intestins pendant quelle
était vivante ?
- Noonnn. piire ! ! !
- Tu lui as brûlé la queue pendant qu'elle était vivante ?
- nooonn, piiirree ! ! !
- Alors, que lui a tu fait ?
- Je l'ai enterrée vivante ! ! ! !
Un type se perd
dans la forêt. Heureusement il se fait héberger par un paysan qui lui offre
le gîte et le couvert. Le lendemain, le type qui voudrait remercier le paysan,
constate qu'il n'a pas un rond en poche, mais comme il est ventriloque, il décide
de lui faire un petit tour en guise de remerciements.
Le type va vers une poule et lui dit :
- Salut Madame la poule ! Comment ça va ? La Poule :
- Bonjour Monsieur, ça va bien, il y a juste le paysan qui me pique mes œufs,
mais autrement ça va... Le paysan, estomaqué, dedieu ! ! ! ! Vous faites parler
les poules ?
- Oh ! , Pas rien que les poules, regardez : Il va vers la vache - Salut la
Vache, comment ça va ? La Vache :
- Bonjour Monsieur, ça va, il y a juste le paysan qui me tire mon lait tout
les matins, mais sinon ça va... Le Paysan
-CrévinDieu ! Les vaches aussi ?
- Oh ! Tous les animaux, regardez celle-ci : Il va vers la chèvre et fait :
- Bonjour Madame la chèvre ! Alors le paysan tout affolé dit au type : L'écoutez
pas ! C'est une menteuse ! .
Eugène,
un vieux paysan du Berry est enrhumé et décide d'aller voir son médecin. Il
arrive en ville, monte les étages difficilement et s'installe dans la salle
d'attente.
- Personne suivante, dit le médecin.
- Voilà, voilà, dit Eugène.
- Entrez, dit le médecin et déshabillez-vous.
Eugène se déshabille et le médecin constate qu'Eugène ne porte pas de slip.
- Comment vous ne portez pas de slip ? , Dit le médecin
- Mais c'est indispensable, en effet un slip c'est propre et c'est chaud.
- Ah non, fait Eugène, j'ai 60 ans et je n'en ai jamais porté.
Le médecin l'examine et constate juste un gros rhume. Il lui prescrit un sirop
pour la toux et des pastilles pour la gorge, et il lui dit également d'aller
acheter des slips.
"Et n'oubliez pas : Un slip, c'est chaud et c'est propre."
Eugène va acheter ses médicaments et ses slips et rentre chez lui. Le lendemain,
il met son slip et va au champ. Il monte sur son tracteur et laboure son champ.
Une heure plus tard, il lui prend une envie pressante. Il descend de son tracteur,
baisse son pantalon et oublie qu'il a un slip. Il fait son gros besoin. Il renfile
son pantalon et se retourne.
- Oh, il avait raison le docteur, un slip c'est propre.
Eugène remonte sur son tracteur et s'assoit.
- Oh, il avait raison le docteur, un slip c'est chaud.
Le
fermier s'installe pour traire sa vache, petit tabouret, seau en dessous du
pis, et on y va à la manœuvre... Au bout d'une minute la vache donne un coup
de sabot dans le seau... "Ch&* ?%$ de vache" s'exclame notre héros
rural, il attache la patte de la coupable à un poteau, et reprend sa laitière
besogne...
Une autre minute s'écoule et la vache de l'autre patte renverse le lait, "Bor%$ ?*
de vache de mes deux" s'époumone l'agraire personnage tout en attachant
la deuxième patte à un autre poteau, et il se remet à la tâche...
La vache, opiniâtre en diable lui refait le coup, mais cette fois à l'aide de
sa queue, "Ah baptême, de baptême" jure t il derechef "Je vais
t'arranger ça moi tu va voir..." dit-il en attachant la queue de sa Marguerite
à une poutre du plafond.
Comme il est à sa besogne, ses bretelles se font la paire, ses culottes lui
tombent sur les chevilles et son épouse entre dans l'étable.....
Et là le fermier se dit : "Eh merde, elle voudra jamais me croire....."
Eugène
un vieux paysan gagne au tiercé et tout content va au bistrot fêter çà avec
ses copains. Il leur dit :
- Allez tournée générale !
Et puis demande à ses amis :
- j'aimerai faire un cadeau à ma femme mais je n'ai pas d¹idée.
- Offre-lui une télévision couleur
- Oh mais elle en a déjà une.
- Eh bien une machine à laver alors.
- Oh mais elle en a déjà une aussi.
- Je sais, offre lui un balai à chiot, tu verras c¹est bien pratique.
- Oh ben oui c'est une bonne idée car elle n¹en a pas.
Eugène quitte le bistrot et va acheter son balai et l'offre à sa femme.
Quelques jours plus tard, les amis d¹Eugène lui demandent :
- Alors ta femme était contente de son cadeau ?
- Oui elle était contente de son balai elle s'en est servie trois jours mais
finalement elle est revenue au papier elle trouve ça plus pratique ! ! !
Dans
un endroit reculé, à la campagne, un couple vit péniblement avec
ses huit enfants. Un jour, la femme dit à son mari :
- Albert, dis-moi, j'ai deux mois de retard.
- Deux mois d'retard ! T'en es bien sure ?
- Oui, j'en suis sure !
- Faut pas qu'on en parle, faut pas qu'on en parle, OK ?
- Pas d'problème, j'en parle à personne, je t'y promet.
Puis l'homme part travailler aux champs. Un peu plus tard, dans la
matinée, un employé du gaz et de l'électricité sonne à la porte. La
femme lui ouvre.
- Bonjour madame, c'est l'employé du gaz et de l'électricité,
- Bonjour monsieur,
- Je viens pour relever les compteurs.
- C'est par ici
Après avoir regardé ses papiers, l'homme déclare :
- Mais dites moi, vous avez 2 mois de retard !
La femme très troublée lui répond
- Mais comment qu'vous le savez ? C'est mon mari qui vous en a parlé ?
- C'est inscrit sur mon papier, faudra dire à votre mari qu'il passe
nous voir au bureau à la ville le plus tôt possible.
- Ok, j'lui dirai, répond-elle très inquiète.
Le soir, quand le mari rentre, la femme lui raconte la visite de
l'employé du gaz et son mari lui assure qu'il n'en a parlé à personne.
Le lendemain matin, il prend la route de la ville et se rend au bureau
du gaz et de l'électricité.
- Bonjour madame
- Bonjour monsieur, lui répond une jeune femme derrière un bureau
- J'viens ici car y parait que j'ai deux mois de retard !
- Quel est votre nom ?
L'homme donne son nom. La jeune femme lui répond :
- Ah oui, effectivement, vous avez deux mois de retard
- Mais comment qu'vous le savez ?
- C'est l'ordinateur qui me le confirme !
- Mais qu'est ce que je dois faire
- Il faut l'acquitter répond la jeune femme impassible.
- Mais j'peux pas la quitter, c'est impossible
- Si vous ne l'acquittez pas, on vous coupe !
- Mais c'est impossible, répond l'homme de plus en plus inquiet, vous
pouvez pas m'couper !
- Si, si, répond la jeune femme, ça arrive souvent vous savez !
- Mais si vous m' coupez, comment que j'vais faire ?
-Avec une bougie, comme tout le monde !
Deux
potes discutent :
- Pourquoi t'es-tu reconverti de paysan en vitrier ?
C'est à cause de ma femme. Elle voulait plus que je laboure alors je mastique.
Pourquoi
les paysannes ne mettent-elle pas de culotte en été ?
- Pour ne pas avoir de mouches sur la figure.
C'est
le père Mathieu qui vient d'acheter un âne, et comme il n'a pas encore prévu
la place pour lui, il l'enferme avec un gros taureau dans l'étable, et pour
ne pas que le taureau embête l'âne, il met une grande couverture sur l'âne.
Père Mathieu va se coucher, et une heure plus tard, il entend - HHHIIIIII HAANNNNNNN
! ! ! ! - Non de Dieu, mon âne ! Il se précipite dans l'étable, mais il ne reste
plus que le taureau, pas trace d'âne... Il court vers le village, et il demande
à un groupe de jeunes à la terrasse d'un bistrot : - Vous auriez pas vu un âne
avec une couverture sur le dos ? - Non mais on a vu courir un âne avec un mouchoir
dans le trou du cul .
C'est
dans la campagne, Léon qui dit à Ginette : - Cré vin diou Ginette, c'est-y qu'on
va baiser comme au bon vieux temps, contre la barrière du père François ? -
Oh, oui mon Robert, allons-y ! Ils y vont, et Robert commence à triquer Ginette
contre la barrière, et Ginette se débat comme une folle en hurlant - Oh vin
Dieu la Ginette ! ! T'est encore plus vivace que quand t'avions 20 ans ! - Oui
mais quand j'avions 20 ans, la barrière était pas électrifiée ! !
C'est
2 vielles paysannes qui ramassent des patates, a un moment l'une d'elles saisit
deux grosses patates pleines de terre et dit a l'autre :
-"Vingt dieux elle sont comme les couilles de mon Victor !" Alors
l'autre :
-" Aussi grosses ! ! ! ?"
-"NON, aussi sales !"
Un
bon gros paysan a acheté un tout nouveau coq, trouvant le sien trop vieux pour
"satisfaire" toutes ses poules.
Alors quand le jeune coq arrive dans la basse-cour, le vieux coq vient le trouver
et lui dit :
"Salut jeunot, voila tu sais que j'approche de la fin, alors si tu veux,
tu pourrais me laisser quelques poules,..."
Le jeune coq stupéfié, lui répond : "Ah non ! Tu as fait ton temps pépé,
maintenant c'est mon tour, je prends toutes les poules....
Mais le vieux coq, malin, lui demande "Alors je te propose une course :
le premier arrivé à la clôture, là-bas aura toutes les poules mais tu me laisses
quand même 1 mètre d'avance, ok ? ?"
Le jeune coq, costaud, en pleine forme, comparé au vieux coq, qui a du mal à
se tenir sur ses pattes, répond "OK, papy, pas de problème, eh.. eh.. eh"....
Le jeune coq est persuadé de ne faire qu'une bouchée du vieux ! !
La course commence....
Le paysan voit son jeune coq courir après le vieux coq, s'empresse de saisir
son fusil, et mitraille le jeune coq en gueulant :
"Putain, ça fait le 5ème coq que j'achète, c'est le 5ème coq pédé !"
Eugène
un vieux paysan gagne au tiercé et tout content va au bistrot fêter çà avec
ses copains. Il leur dit :
- Allez tournée générale !
Et puis demande à ses amis :
- J'aimerai faire un cadeau à ma femme mais je n'ai pas d'idée.
- Offre-lui une télévision couleur
- Oh mais elle en a déjà une.
- Eh bien une machine à laver alors.
- Oh mais elle en a déjà une aussi.
- Je sais, offre lui un balai à chiotte, tu verras c'est bien pratique.
- Oh ben oui c'est une bonne idée car elle n'en a pas.
Eugène quitte le bistrot et va acheter son balai et l'offre a sa femme.
Quelques jours plus tard, les amis d'Eugène lui demandent :
- Alors ta femme était contente de son cadeau ?
- Oui elle était contente de son balai elle s'en est servie trois jours mais
finalement elle est revenue au papier elle trouve ça plus pratique ! ! !
C'est
2 vieilles paysannes qui ramassent des patates, à un moment l'une d'elles saisit
deux grosses patates pleines de terre et dit à l'autre :
"Vingt dieux elle sont comme les couilles de mon Victor !"
Alors l'autre : " Aussi grosses ! ! ! ?"
"NON, aussi sales !"
Eugène, un vieux
paysan du Berry est enrhumé et décide d'aller voir son médecin. Il arrive en
ville, monte les étages difficilement et s'installe dans la salle d'attente.
- Personne suivante, dit le médecin.
- Voilà, voilà, dit Eugène.
- Entrez, dit le médecin et déshabillez-vous.
Eugène se déshabille et le médecin constate qu'Eugène ne porte pas de slip.
- Comment vous ne portez pas de slip ?, dit le médecin
- Mais c'est indispensable, en effet un slip c'est propre et c'est chaud.
- Ah non, fait Eugène, j'ai 60 ans et je n'en ai jamais porté.
Le médecin l'examine et constate juste un gros rhume.
Il lui prescrit un sirop pour la toux et des pastilles pour la gorge, et il
lui dit également d'aller acheter des slips.
"Et n'oubliez pas : Un slip, c'est chaud et c'est propre."
Eugène va acheter ses médicaments et ses slips et rentre chez lui.
Le lendemain, il met son slip et va au champ.
Il monte sur son tracteur et laboure son champ. Une heure plus tard, il lui
prend une envie pressante. Il descend de son tracteur, baisse son pantalon et
oublie qu'il a un slip. Il fait son gros besoin.
Il renfile son pantalon et se retourne.
- Oh, il avait raison le docteur, un slip c'est propre.
Eugène remonte sur son tracteur et s'assoit.
- Oh, il avait raison le docteur, un slip c'est chaud.
C'est dans le Périgord
noir. Un pauvre paysan crève la faim avec toute sa famille, mais il a un trésor !
Et ce trésor, c'est son cochon. D'après lui, ce cochon est 'le cochon le plus
intelligent du monde'...
Un beau jour, un journaliste du quotidien local vient à apprendre qu'un cochon
plus intelligent que la moyenne vit dans une ferme du voisinage. Le journaliste
prend sa voiture et va se rendre compte sur place de lui même.
Lorsqu'il arrive dans la ferme, il voit les bâtiments en ruine, et se demande
comment à notre époque on peut encore vivre comme ça... Puis le paysan sort
de la baraque. Alors le journaliste lui demande :
- Bonjour ! Je suis journaliste au 'Périgourdin On-line' et j'ai appris que vous
possédiez un cochon extraordinaire.
Le pauvre paysan lui répond "c'est vrai". Puis il siffle un coup entre ses dents, et un cochon qui n'a plus que trois pattes sort de l'étable. "C'est lui" dit le paysan.
Le journaliste
voit le cochon et demande :
- Et qu'est-ce qui vous fait dire qu'il est le cochon le plus intelligent du
monde ?
Le paysan répond :
- L'hiver dernier, j'étais dehors en train de réparer des clôtures et ma femme
était en ville pour vendre du fromage. Notre petit bébé était à l'étage dans
la maison en train de dormir dans son berceau.... lorsqu'un incendie a enflammé
la maison (ma femme avait laissé son fer à repasser sur le linge). A ce moment
là, le cochon a couru dans la maison, monté l'escalier, il a attrapé le bébé
en prenant son bras dans sa mâchoire sans lui faire mal, puis il est redescendu
et a déposé le bébé sur le sol à l'abri des flammes. Ensuite il est parti me
chercher dans le pré et j'ai pu éteindre l'incendie avant qu'il n'y ait trop
de dégâts.
-Wow, dit le journaliste, c'est incroyable.
-Et ce n'est pas tout ! Un jour que je travaillais la terre dans le champ d'à côté, la herse était bourrée avec de la terre et de l'herbe. Alors je met le tracteur au point mort, je descend et je commence à nettoyer sous la herse. Mais la vitesse s'est enclenchée toute seule et je me suis trouvé renversé par la herse et entraîné par l'attelage. J'ai cru que j'étais un homme mort... mais le cochon avait du sentir qu'il se passait quelque chose : Il est allé chercher une corde, a rattrapé le tracteur et la herse, m'a laissé un bout de corde, et a tiré de toutes ses forces à l'autre bout. C'est grâce à lui si je suis encore là aujourd'hui.
-C'est vraiment
extraordinaire, lui répond le journaliste. Mais dites-moi, comment se fait-il
qu'il n'ait plus que trois pattes ?
-Ben, quand
on a un cochon aussi bon et intelligent, on ne peut pas le manger tout d'un
coup.
C'est un gars qui cherche à acheter une ferme. Un beau jour, alors qu'il se ballade en voiture, il en voit une qui se trouve située idéalement. Il s'arrête et va à la rencontre de l'agriculteur qui se trouve avoir dépassé l'âge de la retraite depuis longtemps (et donc, il est prêt à vendre).
Tous les deux
discutent, et finissent même par s'accorder sur le prix.
Pourtant, l'acheteur potentiel met une condition :
- Y-a-t-il des abeilles dans la ferme ? Je ne les supporte pas !
Le paysan répond qu'il n'y a pas plus d'abeilles dans sa ferme qu'il n'y en
a au pôle nord. Pour lui prouver ses dires, le paysan lui fait le pari de l'attacher
nu à un arbre, et de le couvrir de lait (il n'y a que ça de sucré et de disponible
à la ferme) : Si au bout d'une heure l'acheteur a été piqué par une abeille,
alors il pourra avoir la ferme GRATUITEMENT !
Naturellement,
l'acheteur potentiel est prêt à tenter le pari, et se laisse attacher nu à l'arbre.
Une heure plus tard, le fermier revient voir son acheteur. Avant même de le
voir, il l'entend crier comme un cochon qu'on égorge. Le paysan lui demande :
- Ne me dites pas que vous avez été piqué ?...
Le gars lui répond :
- Non non, mais par pitié, ne pourriez-vous pas montrer à ce veau qui est sa
mère ?
C'est un mec qui
se promène à la campagne, lorsqu'il croise une toute petite fille de 6 ans qui
conduit une vache au bout d'une corde. Le mec lui dit :
- Ben ou tu vas comme ça avec ta vache ?
- Je l'emmène au taureau m'sieur.
- Ben, ton père ne pourrait pas le faire ? ?
- Oh non ! ! Il faut un taureau pour ça !
Un parisien arrive
chez des amis à la campagne... Son ami paysan le reçoit :
- Cré vingt diou ! ! c'est-y pas l'Maurice !
- Si , si. Bonjour Serge..... Alors ... toujours autant de mouches dans la ferme ?
je me rappelle l'annÉe dernière il y avait plein de mouches partout, c'était
invivable !
- Ah non ! À c't'heure, j'ai trouvé un truc, maintenant j'utilise l'pépé ! !
- Ah bon ?
- Ben ouais, on enduit l'pépé de miel et zouuu toutes les mouches elle vont
sur lui cré d'vin diou !
- Ah mais il doit gigoter dans tous les sens ... le pauvre ! ! ?
- Ah ben non ça ... l'est paralysé.
C'est Jeannot le fermier qui se sent pas super bien, aujourd'hui... d'habitude, il se lève avec les poules (et même un peu avant) et va chercher quelques bûches dans la remise pour que Raymonde puisse faire chauffer l'eau des patates à midi, et ça se passe bien. Mais la, il lève les bras pour choper sa bûche et OUAILLE, il se sent tout fripé, tout tiré, tout tire-bouchonné dans l'entrejambe.
Ça lui rappelle le jour où la Raymonde et lui prenaient du bon temps dans l'étable du père Mathieu et qu'il s'était pris un coup de sabot de la Blanchette (qu'était un peu nerveuse à cause des cris). Il se souvient qu'à l'époque, son père l'avait amené chez le vétérinaire pour lui examiner les coucougnes. Alors aujourd'hui, il décide de sortir la 2 CV et d'aller en ville voir un toubib.
Arrivé au cabinet
du docteur, il patiente un peu. Puis le docteur vient le chercher et l'écoute
dire qu'il a mal aux cougourdes.
"Enlevez votre pantalon."
Jeannot enlève ses bretelles et ses braies tombent par terre. Alors le docteur
lui dit :
"Oh là là, mais ça m'étonne pas, que vous ayez mal ! Vous ne mettez pas
de slip ?
- Bah non, ma doué !
- Pas de caleçon, rien ?
- Ben non cré vin diou !
- C'est pour ça ! On est en hiver, et il faut que vous teniez vos testicules
au chaud, sinon forcément vous allez en souffrir... allez donc vous acheter
un slip ! ...et puis vous verrez, c'est plus propre et ça tient bien chaud !
- Ah bin d'accord, alors.
Jeannot paie le
toubib et s'en retourne chez lui, après avoir acheté un magnifique slip kangourou
blanc taille 5 et l'avoir mis, non sans effarer la clientèle du Prisu (faut
dire aussi qu'il connaissait pas l'existence des cabines d'essayage). Il revient
à la maison... euh, à la ferme, et va voir la Raymonde :
- Ça y est, le docteur il m'a dit ce qui allait pas, maintenant j'ai un slip,
et c'est plus propre et ça tient chaud !
- Bon dieu d'la ! dit la Raymonde, avant de retourner aux fourneaux.
Jeannot retourne
alors travailler sur son tracteur. Au bout de deux heures, il ressent un besoin
pressant. Il descend de tracteur, court vite vers un buisson, baisse son pantalon
et... pousse. Quand il a fini, il se relève et boucle son ceinturon en regardant
en arrière : rien ! Pas la moindre petite crotte ! Pas d'odeur, pas de trace,
rien !
- Bah dis donc, c'est vrai que c'est plus propre !
Il retourne au tracteur, satisfait, et s'assied au volant :
- Mais Cré vin diou, c'est que c'est vrai aussi que ça tient chaud !"
C'est un fermier
qui se retrouve à l'hôpital avec une jambe cassée.
L'interne de garde lui demande :
- Comment est-ce arrivé ?
Le fermier commence :
- Eh bien, c'était il y a 25 ans...
L'interne l'interrompt :
- Ne me racontez pas votre vie : Dites-moi simplement comment vous vous êtes
cassé la jambe ce matin !
Le fermier répond :
- Comme je vous le disais, il y a 25 ans, je travaillais comme journalier dans
une ferme de la région. C'était ma première nuit sur place, et juste après que
je sois couché, la fille du fermier (une superbe créature) est entrée dans ma
chambre. Elle m'a demandé si je n'avais besoin de rien. je lui ai répondu "Non
non, tout va bien". Puis elle a encore demandé "Vous êtes vraiment
sûr qu'il n'y a rien que je puisse faire pour vous ?", et là je lui ai répondu
"Non , non, je vous remercie"
L'interne reprend
la parole et demande :
- Mais je ne vois pas très bien ce que cette histoire a à voir avec votre jambe
?
Et le fermier répond :
- Ben, c'est que ce matin, alors que je réparais mon toit, j'ai finalement compris
ce qu'elle avait voulu dire... et je suis tombé par terre !
Une paysanne gagne
un week-end a Paris...
Quand elle revient, son mari lui a préparé une bonne potée aux choux...
Après le repas la paysanne veut montrer a son mari un truc qu'elle a appris
en regardant une revue cochonne, et qui s'appelle le 69.
Les deux prennent la position et commencent le travail. C'est sympa pendant 5 minutes, après quoi le chou commence à macérer sévère, et la femme finit par péter au nez de son mari.
2 minutes passent et la femme lâche un 2ème pet.
Le mari s'exclame
alors "Dis donc la Marie, j'espère qu'il n'y en a pas encore 67 comme ça".
C'est un éleveur
de vache qui se retrouve avec une vache qui louche. ça l'embête pas mal, parce
que sa vache n'arrête pas de se cogner partout. Alors pour voir si on peut faire
quelque chose, il appelle le véto. Le véto l'examine puis il dit :
- Je vais vous montrer comment lui remettre les yeux d'aplomb. Mais malheureusement,
la correction ne sera que temporaire, et il faudra renouveler l'opération à
chaque fois que la vache se remettra à loucher.
Alors le véto prend un tuyau, introduit une extrémité dans le rectum de la vache, place sa bouche à l'autre extrémité et souffle un bon coup ! Et POF, comme par magie, les yeux de la vache sont rectifiés...
Le fermier est tout content de voir sa vache redevenue normale, mais ça ne dure pas, car avant qu'ils ne partent, la vache s'est remise à loucher. Le véto dit à l'éleveur d'essayer la technique par lui-même.
Le fermier prend
alors le tube, inverse les côtés et s'apprête à souffler quand le véto dit :
- Mais qu'est-ce que vous faites, Pourquoi avez-vous inversé le tube ?
- Bah, pour pas met' ma bouche là où vous avez mis la vot'
L'avocat : - Sur
les lieux de l'accident, n'avez-vous pas dit au policier que
"vous ne vous étiez jamais senti aussi bien de toute votre vie ?"
Le fermier : - C'est exact
L'avocat : - Et c'est maintenant seulement que vous venez vous plaindre d'avoir été sérieusement blessé dans l'accident entre la voiture de mon client et votre carriole ! ?
Le fermier : -
C'est parce que, lorsque le policier est arrivé sur le lieux de l'accident,
il est allé voir mon cheval, qui avait une patte cassée, et il l'a descendu
d'une balle dans la tête. Ensuite, il est allé vers Rouky, mon chien qui était
couché sur la route et qui se vidait de son sang, et il l'a descendu lui aussi.
Alors quand ensuite il s'est approché de moi et m'a demandé comment je me sentais,
j'ai pensé qu'il valait mieux lui dire que j'allais parfaitement bien.
C'est un technocrate européen qui a décidé que dorénavant, tous les oeufs de poule devraient être datés du jour de ponte. Naturellement, on fait procéder à des inspections surprises... Dans une petite fermette du fin fond de la Creuse, un inspecteur de la D.G.C.C.R.F. ramène sa fraise. - Bonjour madame. Je suis inspecteur de la répression des fraudes. Je suis venu constater si vous procédiez bien au marquage du jour de ponte sur tous les oeufs que vous vendez. - Ah ben ça oui mon gars. Bien sûr qu'y sont datés mes oeufs. Tiens, regarde...
Alors l'inspecteur
regarde les oeufs, et constate que sur chaque oeuf est inscrit "Aujourd'hui...
Aujourd'hui... Aujourd'hui..."
Dans un petit bled paumé du Larzac, en plein hiver, un gars dérape sur une plaque de verglas avec sa voiture et tombe dans le fossé. Heureusement pour lui, le père Mathieu passe par là avec son percheron Basile et la carriole.
Gentiment, le
père Mathieu propose à l'automobiliste de le sortir de ce traquenard. Il attache
la voiture au moyen d'une corde à la carriole et commence à crier :
- Hue Bébert, Hue ! Mais Basile le percheron ne bouge pas.
Alors le père
Mathieu crie :
- Hue Mado,
Hue ! Mais Basile ne bouge toujours pas.
Le père Mathieu
relance : - Hue Nestor, Hue ! Aucune réaction de Basile.
Enfin Mathieu
dit : - Hue Basile, Hue ! Et enfin, tout tranquillement, Basile le percheron tire
la voiture hors du fossé.
L'automobiliste
content s'enquiert auprès du père Mathieu : - Dites-moi un peu, comment cela
se fait-il que vous ayez appelé votre cheval trois fois de suite avec un mauvais
nom ? - Ah, ça, c'est parce que Basile est non seulement aveugle, mais il est
aussi fainéant comme pas possible : Si il se pensait être le seul à tirer, il
aurait même pas essayé !
C'est trois gars qui se rencontrent dans un bar après être perdu de vue depuis près de trois ans. Le premier dit aux deux autres qu'il s'est acheté une ferme de 20 hectares avec une vingtaine de vaches et qu'il se fait environ 80 000 frs de bénéfice par année.
Le deuxième quand à lui dit qu'il a aussi acheté une ferme mais de 40 hectares avec une trentaine de vaches et qu'il se fait environ 150 000 frs de bénéfice par année.
Le troisième se
tord de rire à en pisser dans ses culottes, un de ses deux amis lui demande
pourquoi et il répond qu'ils sont complètement loosers parce que lui il a 4
VACHES, 50 MÈTRES DE TROTTOIR ET QU'IL SE FAIT ENVIRON 500 000 FRS PAR ANNÉE.
C'est Dédé et
Marius qui sont assis sur un banc sous les platanes dans un petit village très
rural.
Les 2 vieillards parlent du passé :
- Dédé, tu sais ce qu'il me rappelle le champ là en face de toi ?
- Non Marius.
- Et bien c'est dans ce champ que pour la première fois j'ai fait l'amour...
- Non ?
- Si, si, c'est vrai ! C'était avec la Germaine.
- C'était comment, raconte !
- Oh, tu sais pour une première fois c'était plutôt sympa !
- Je m'en
doute...
- Et tu sais quoi, il y avait sa mère qui nous regardait !
- Non, tu te fous de ma gueule !
- Si je te jure !
- Et qu'est ce qu'elle disait en vous regardant ?
- Meuuuuhhh !"
C'est un couple de vieux paysans qui participe à la remise des prix d'un concours de taureaux. Le présentateur annonce les prix : - 3ème prix, le taureau Gédéon, 3 ans, 3 saillies par jour.
La vieille (tapant
du coude son mari) : - T'entends 3 fois par jour ! !
Le présentateur :
- 2ème prix, le taureau Géronimo, 5 ans, 6 saillies par jour.
La vieille
(idem) : - T'entends ? ? ! !
Le présentateur :
- 1er prix, le taureau Germain, 4ans et demi, 9 saillies par jour.
La vielle
(idem) : - T'entends ! !
Le vieux
(s'adressant au présentateur) : - Dis donc mon gars, les 9 fois par jour, c'est
avec la même vache ?
Le présentateur :
- Bien sûr que non !
Le vieux
(à sa femme) : - T'entends ! ! ! !
C'est un couple
de paysans qui débarquent à Paris pour le salon de l'agriculture. La femme veut
en profiter pour faire ses emplettes chez Tati. Là, elle essaye un très joli
short comme on en trouve pas ailleurs, mais hélas impossible de rentrer dedans.
Elle essaie un chouette de bermuda élastique, mais malgré tous ses effort...
c'est pas sa taille. Le mari, qui a toujours un mot gentil pour sa pépettes
:
- Tu trouvera rien... t'as le cul large comme une batteuse ! Après une journée
bien remplie, ils se retrouvent à l'hôtel. Comme il a une petite envie le bonhomme
commence à tripoter sa germaine, qui se retourne en disant :
- Tu ne pense pas que j'vais mettre la batteuse en route pour un si petit épi
?
Mais en chemin il réfléchit et se dit : "Si les fils Mastard font ça, c'est que ça doit pas être si mauvais que ça... Alors il va se chercher un tabouret dans sa cuisine, marche jusque dans son étable, se choisit une génisse pas farouche et entreprend de la besogner...
À ce moment là,
alors qu'il est en train de prendre son pied, les fils Mastard (qui l'avaient
vu venir chez eux et qui l'avaient suivi) se montrent à la porte de l'étable
et partent d'un grand éclat de rire ! Le père Eugène leur demande : - Et pourquoi
vous rigolez bande de ptits cons ? Je viens de vous voir faire la même chose
chez vous ! Alors les deux frères : - Et ouais ! Mais t'as pas vu laquelle tu tires ? !
T'as choisi la plus moche du troupeau !
Dans une ferme au fin fond du Jura, deux fermiers typiques : Albert et sa femme la Marie.
Il est 10 h 00 environ au cadran solaire de la ferme. Comme chaque lundi, la Marie balaie la cour. Soudain, elle voit passer, devant son balai et à toute vitesse comme s'il était effrayé par quelque chose, un petit poussin. Il n'est pas jaune, sa couleur naturelle mais brunâtre, dégoulinant et surtout dégage une forte odeur indescriptible.
Pas de quoi en
faire un plat, la Marie reprend son balai et son geste franchement inutile.
Et de deux, un deuxième poussin, dans le même état que le premier et dans une
course effrénée, des cris stridents et les yeux exorbités s'enfuit au fond de
la grange.
Étrange se
dit-elle, balayant de plus belle. Et de trois, le troisième poussin dégoulinant,
carrément noir vient heurter son balai avant de détaler à tire-d'aile.
Cette fois
la Marie fonce vers le coin de la ferme et s'écrie : "c'est toi l'Albert ?"
"Oui,
c'est moi ! ........... dis-donc, la Marie, t'aurais pas du papier parce que
là, j'ai plus de poussin"
Retrouvons l'Hubert
et la Marie au moment de passer leur nuit de noces.
La Marie se déshabille,
s'couche; l'Hubert ar'tire l'patalon, l'pose sur le rebord du lit, r'tire sa
k'mise met sa k'mise de nuit pi y s'couche. Il s'endort aussitôt. La Marie s'dit
: la mé m'avions point dit kchétait comme cha la nit d'noces. Elle secoue l'Hubert
:
"-
Hubert, Hubert"
Hubert :
"- m'ouai" Marie : "ai frais du côté drait" Hubert s'lève,
fait l'tour du lit et s'couche à draite de Marie pis y s'endort.
Marie est
inquiète et 5 minutes plus tard Marie : "- Hubert" Hubert : "-
mhum" Marie : "ai frais du côté gauche" Hubert s'lève, fait l'tour
du lit et s'couche à gauche de Marie pis y s'endort
Marie de
plus en plus inquiète Marie, d'une voix ferme : "ai frais du côté drait"
Hubert : "Marie, j'veux ben enco' fair' un effort, mais c'est l'dernier"
Hubert s'lève,
fait l'tour du lit et s'couche à draite de Marie pis y s'endort Marie, dix minutes
plus tard : "Hubert, Hubert, ai frais du côté gauche" Hubert : "Non,
Marie, j't'ai dit qu'c'était la dernière fois" Marie : "T'as pas besoin
d'te l'ver, t'as qu'à passer pa'd'sus mé" Hubert : "Ah bah cha, est
pas bête, y'avait point pensé"
Hubert entreprend
de passer par dessus Marie, et lorsqu'il est sur elle, elle le coince entre
ses cuisses et lui dit : Marie : " Hubert, comment qui fait l'taureau ?"
Hubert : "Meuh !"